La mort n'est pas notre fin définitive,
Ce n'est qu'un nouveau voyage qui commence.
Certains appellent cela une deuxième chance,
Même si notre âme vogue éternellement sur les rives
Mais alors ces rives que représentent-elles?
Ce ne sont que des routes monotones, irréelles.
Pourtant mourir n'est pas une partie de plaisir,
Qui a, pour toute la vie, envie de partir?
Pour d'autres, la mort correspond à une délivrance,
Car elle nous fait oublier toutes nos souffrances.
Moi je suis dans le deuxième cas : sauvez-moi,
Je n'ai pas envie de subir encore cela.
Ce sang dans mes veines est bien plus noir que la mort.
Ce sang qui coule est en train de me faire défaut,
Et cette lame me fait oublier tous mes maux,
Pour qu'elle m'apprenne enfin ce qu'est le triste sort.
Le triste sort?C'est vrai pour quelques personnes,
Et j'entends déjà les cloches de la mort qui sonnent.
Cette lame coupe mes veines comme le ferait la Parque.
Sur Terre, j'ai envie de laisser un de les marques,
Mes poèmes font office d'autobiographie,
De telle sorte que je puisse abandonner ma vie.
Certains comprendront que je veuille me retirer
Mais d'autres en resteront complètement bouche-bée.
Ne soyez pas si triste, ce n'est que mon choix,
Ma vie se dessine dans les cieux, c'est ma voie.
Ce n'est qu'un nouveau voyage qui commence.
Certains appellent cela une deuxième chance,
Même si notre âme vogue éternellement sur les rives
Mais alors ces rives que représentent-elles?
Ce ne sont que des routes monotones, irréelles.
Pourtant mourir n'est pas une partie de plaisir,
Qui a, pour toute la vie, envie de partir?
Pour d'autres, la mort correspond à une délivrance,
Car elle nous fait oublier toutes nos souffrances.
Moi je suis dans le deuxième cas : sauvez-moi,
Je n'ai pas envie de subir encore cela.
Ce sang dans mes veines est bien plus noir que la mort.
Ce sang qui coule est en train de me faire défaut,
Et cette lame me fait oublier tous mes maux,
Pour qu'elle m'apprenne enfin ce qu'est le triste sort.
Le triste sort?C'est vrai pour quelques personnes,
Et j'entends déjà les cloches de la mort qui sonnent.
Cette lame coupe mes veines comme le ferait la Parque.
Sur Terre, j'ai envie de laisser un de les marques,
Mes poèmes font office d'autobiographie,
De telle sorte que je puisse abandonner ma vie.
Certains comprendront que je veuille me retirer
Mais d'autres en resteront complètement bouche-bée.
Ne soyez pas si triste, ce n'est que mon choix,
Ma vie se dessine dans les cieux, c'est ma voie.